NEWS – INFOS – NEWS – UN TRÉSOR DÉCOUVERT SOUS DES TÔLES DANS L’ENCEINTE D’UN CHATEAU – NEWS – INFOS – NEWS –

Si tous les membres de notre Univers se passionnent pour les voitures à pédales beaucoup d’entre eux s’intéressent également aux voitures à l’échelle 1.
Je ne résiste pas à l’envie de vous faire part de cette info incroyable qui m’est parvenue par les organisateurs du Salon RétroMobile et le magazine « Le Point » après une dépêche AFP du 26 novembre dernier :
Un trésor découvert sous des tôles, dans l’enceinte d’un château de la commune d’Echiré (79410). Voici ce que relate le magazine « Le Point » :

– « Des Bugatti, des Hispano-Suiza, des Delahaye mais aussi des Maserati et des Ferrari, certaines rarissimes: découvertes dans les dépendances d’une propriété, 60 belles endormies des années 30 aux années 70 vont être vendues aux enchères. Estimées 16 millions d’euros au total, ces véhicules de légende, la plupart dignes d’un musée et signées des carrossiers les plus illustres dont Chapron et Million-Guiet, seront dispersées par Artcurial le 6 février lors du salon Rétromobile, Porte de Versailles. Qualifiées de « graal automobile » par les experts, une légendaire Talbot Lago T26 de 1948 et une Ferrari 250 California de 1961 notamment dormaient dans une propriété de 3 hectares, dans l’ouest de la France, sous des abris de fortune. Cette incroyable collection, retrouvée en état « sortie de grange », selon le jargon des spécialistes, a été constituée par un passionné, Roger Baillon, entrepreneur dans le transport de marchandises, avec l’ambition de sauver le patrimoine automobile d’avant-guerre et d’ouvrir un musée dans sa propriété. « L’homme est un collectionneur de la première heure. Il veut célébrer le génie automobile et achète une propriété pour construire un musée. Il se met alors à acheter en France, mais aussi en Europe, des modèles emblématiques », raconte à l’AFP Matthieu Lamour, directeur de Artcurial Motocars. « Si aujourd’hui, les voitures de collection d’après-guerre s’arrachent lors des ventes aux enchères, cela n’a pas toujours été le cas. A l’époque, Roger Baillon sauve véritablement de la casse beaucoup de ces merveilles », ajoute-t-il. » –

C’est amusant, ce genre d’info qui tombe pendant la période de Noël ! Encore un coup du bonhomme en rouge ?

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